“Ces jours qui ne sont plus”, Françoise d’Origny
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Avec “Ces jours qui ne sont plus”, Françoise d’Origny pose un regard sincère et lucide, mais aussi amusé et sans concession, sur une vie personnelle intense et l’évolution d’une époque fastueuse révolue. Aristocrate, sportive et artiste-peintre, l’auteure a suivi le sillage de ses parents (anciens résistants de la première heure) qu’elle vénérait comme des dieux en faisant montre de fidélité à ses principes, de courage, de devoir… et de caractère. Son frère Henri et elle n’ont pas été étouffés de baisers, mais ont reçu une éducation stricte qui ne tolérait aucun manquement. Ce dont elle les remercie. Cette éducation lui a permis d’affronter une vie très exigeante faite de conventions, de protocoles et de bienséance. Mais aussi surprenante et rocambolesque. Devenue Comtesse d’Harcourt, après un mariage plus teinté d’entente cordiale que d’amour, Françoise d’Origny a osé divorcer pour rencontrer quelques années plus tard l’amour dans les beaux yeux d’un scientifique.