“La Petite mort de Virgile”, Christian Rauth

Temps de lecture : 3 min CHRONIQUE
On connaît Christian Rauth comme comédien (« Père et Maire » sur TFI ou ses rôles dans des séries comme « Navarro »), on connaît moins bien l’écrivain. C’est fort dommage. Son quatrième roman, « La Petite mort de Virgile », paru aux Editions De Borée, est un réel plaisir de lecture tant par l’histoire finement conçue que par l’écriture cinématographique. Son thriller ne joue pas seulement la carte du suspense, puisque la dernière de couverture en dit beaucoup… peut-être trop. Pour ne pas le déflorer, gardez-vous de cette curiosité, somme toute légitime, et plongez-vous sans réserve dans les 432 pages qui passent beaucoup trop vite. Dès le premier chapitre, vous serez happé par l’histoire de trois hommes dont les chemins se croisent. Dans ce triangle, Gina Santos. Pour elle, les hommes sont prêts à lui offrir les preuves d’amour les plus folles. Elle est si belle qu’elle provoque l’embrasement des cœurs, mais aussi réveille les instincts les plus vils.

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